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  1. SOCIETE D'EDITION LES BELLES LETTRES
    95 BOULEVARD RASPAIL
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    FRANCE
    Tel : 01 44 39 84 20
    Web : www.lesbelleslettres.com

    La Grande Guerre du Kurukshetra —Maggi Lidchi-Grassi




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ADI SHAKTI
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Tél: (1) 45 779059, Fax: (1) 45 778375

LE CENTRE SRI AUROBINDO
4125, rue Saint-Denis, Montréal (Quebec)
Canada H2W 2M7
Tél/Fax: (514) 845-2786

SABDA
Sri Aurobindo Ashram
Pondicherry 605 002
India
Tel. +91 413 2223328, 2233656
Email mail@sabda.in
WhatsApp: +91 94885 03098



SRI AUROBINDO

Sri Aurobindo, yogi, poète, philosophe, penseur social et politique, est né à Calcutta le 15 août 1872. De sa septième à sa vingt et unième année, il fut élevé en Angleterre, d’abord à la St. Paul’s School de Londres puis au King’s College de Cambridge. Il y acquit une connaissance approfondie du grec et du latin, de l’anglais et du français, tout en se familiarisant avec d’autres langues européennes, comme l’allemand et l’italien.

Sri Aurobindo rentra en Inde en 1893 et demeura treize années au service de l’État de Baroda. Au cours de cette période, il passa maître dans la connaissance du sanskrit, apprit d’autres langues indiennes et étudia en profondeur tant les problèmes politiques que la tradition culturelle de l’Inde. En 1906, il se rendit au Bengale et se lança ouvertement dans l’action politique, son journal Bandé Mataram devenant la voix la plus puissante au début du mouvement pour l’indépendance de l’Inde. Arrêté en 1908, il passa un an en prison en attendant l’issue de son procès.

Relâché, il poursuivit son travail révolutionnaire jusqu’en 1910, époque à laquelle, en réponse à un appel intérieur, il quitta le domaine de la politique et se retira en Inde française, à Pondichéry, afin de continuer à pratiquer intensément le yoga. Ayant rassemblé toutes les vérités essentielles des expériences spirituelles du passé, il travailla à une réalisation plus complète qui pût transformer et diviniser la vie.

Ses œuvres renferment une grande part de la connaissance qui lui était venue au cours de la pratique de son yoga et offrent des exposés détaillés sur la philosophie spirituelle et le yoga, le sens véritable des Védas, des Upanishads et de la Bhagavad-Guîtâ, traitent de l’esprit et de la signification de la civilisation et de la culture indiennes, évoquent la nature et l’évolution de la poésie et “décrivent” le progrès de la société humaine vers son avenir divin.



LA MÈRE

La Mère (Mirra Alfassa, 1878-1973) est née et a été élevée en France. Peintre accompli et musicienne émérite, elle commença, dès son plus jeune âge, d’avoir des expériences psychiques et spirituelles. En 1912 un petit groupe de chercheurs se réunissaient régulièrement chez la Mère, à Paris, dans le but de se connaître et de se maîtriser eux-mêmes.

En 1914, elle se rend en Inde et rencontre Sri Aurobindo à Pondichéry. La même année, ils publient en collaboration un journal en anglais, Arya et sa contrepartie en français, Revue de Grande Synthèse. L’objet de ce journal était “l’étude des plus hauts problèmes, et la formation d’une vaste synthèse de connaissance”.

Le 24 novembre 1926, Sri Aurobindo se retire et confie à la Mère le soin de guider les disciples qui se sont réunis autour de lui. Ainsi est né l’Ashram de Sri Aurobindo. Le Centre International d’Éducation a été fondé par la Mère en 1951, et Auroville, la Cité de l’Aurore, inaugurée en 1968.

Hormis Prières et Méditations et quelques nouvelles, les œuvres de la Mère sont des recueils de ses conversations et de ses lettres, qui traitent des divers aspects du Yoga Intégral de Sri Aurobindo. Mettant en lumière la vérité qui est derrière la vie et les réalités cachées dans notre existence quotidienne, elles fournissent d’inestimables conseils sur le sentier de la perfection de soi.

Celle que nous adorons comme la Mère est la Conscience-Force divine qui domine toute existence, unique et pourtant si multiple qu’il est impossible de suivre ses mouvements, même pour l’esprit le plus prompt et pour la plus libre et la plus vaste intelligence. La Mère est la conscience et la force du Suprême et elle est bien au-dessus de toutes ses créations.

Sri Aurobindo


Sri Aurobindo est venu sur la terre pour annoncer la manifestation du monde supramental. Et non seulement il a annoncé cette manifestation, mais il a incarné en partie cette force supramentale et nous a donné l’exemple de ce qu’il faut faire pour se préparer à la manifester.

La Mère

L’ASHRAM DE SRI AUROBINDO

Lorsque Sri Aurobindo arriva à Pondichéry en 1910, quelques-uns de ses compagnons vinrent peu à peu le rejoindre et tous vivaient ensemble comme les membres d’une même famille. Après le retour de la Mère en 1920, le nombre des disciples augmenta progressivement et une vie collective se constitua. On peut dire que l’Ashram, tel qu’il est actuellement, a commencé en 1926, lorsque Sri Aurobindo l’a confié entièrement à la Mère.

Composé tout d’abord de quelques bâtiments dans un quartier de Pondichéry, l’Ashram s’est peu à peu étendu dans toutes les directions. Le point central de la communauté est un groupe de maisons qui inclut celle où la Mère et Sri Aurobindo ont résidé le plus longtemps. Ces maisons, reliées entres elles en un quadrilatère, constituent ce que l’on appelle le “bâtiment principal de l’Ashram”, ou, tout simplement “l’Ashram”.

Avec les siècles, le mot “ashram” a fini par devenir synonyme de monastère, de retraite pour les reclus et les ascètes, mais il n’en était pas ainsi à l’époque des Védas, des Oupanishads et des grandes épopées. Le sannyâsa ou ascétisme, tel qu’on le comprend d’habitude, ne fut jamais accepté par Sri Aurobindo et n’a jamais fait partie de son yoga, et l’Ashram de Pondichéry diffère considérablement de l’idée que l’on se fait en général d’un ashram. Ses membres ne sont pas des sannyâsî, ils ne portent pas la robe orange et ne pratiquent aucun ascétisme rigoureux. Ils sont des sâdhaks, des chercheurs et aspirants en quête d’une vie fondée sur la réalisation spirituelle, et leur idéal est de réaliser la vie divine sur terre, dans l’existence terrestre. Tel était le caractère de l’Ashram lorsqu’il ne comptait que quelques disciples et tel est son caractère aujourd’hui, maintenant que leur nombre s’élève à plusieurs centaines.

La vie y est entièrement fondée sur la spiritualité. La discipline est avant tout intérieure et chacun jouit de la liberté nécessaire pour se développer et se transformer spontanément. En bref, la sâdhanâ consiste en une soumission progressive de soi-même au Divin. Méditation, concentration, travail, service, tout est utilisé comme moyen de se perfectionner.

Une communauté aussi vaste exige pour fonctionner un travail et un effort soutenus de la part de tous ses membres. “Travailler pour le Divin, c’est prier avec son corps”, dit la Mère. Chacun accepte le travail qui lui est assigné en fonction de ses capacités et de ses aspirations, compte tenu des besoins de la communauté; pour chacun c’est une occasion d’apprendre à servir sans égoïsme, de tenter d’atteindre la perfection dans le travail et d’en faire une offrande au Divin.

Toutes les activités de l’Ashram sont coordonnées et inspirées par la vision d’une vie plus vraie, ainsi que la Mère le souligne: “Sri Aurobindo nous a dit, et nous en sommes convaincus par expérience, qu’au-dessus du mental se trouve une conscience beaucoup plus sage que la sagesse mentale, et dans les profondeurs des choses, une volonté beaucoup plus puissante que la volonté humaine. Tout notre effort est d’arriver à ce que cette conscience et cette volonté gouvernent notre vie et notre action, et organisent toutes nos activités. C’est de cette manière que l’Ashram a été créé... Tout s’est développé spontanément, comme une forêt, et chaque service a été créé non d’après un plan artificiel, mais dynamiquement, par un besoin vivant. C’est le secret de la croissance constante et du progrès sans fin.”

Notre tâche n’est pas de toujours répéter ce que l’homme a déjà fait, mais de parvenir à de nouvelles réalisations, à des maîtrises dont nous n’avons pas encore rêvé. Le temps, l’âme et le monde nous sont donnés comme champ d’action; la vision, l’espoir et l’imagination créatrice nous servent d’inspirateurs; la volonté, la pensée et le labeur sont nos très efficaces instruments.

Sri Aurobindo



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