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La Grande Guerre du Kurukshetra Maggi Lidchi-Grassi
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SRI AUROBINDO
Sri Aurobindo, yogi, poète, philosophe, penseur social
et politique, est né à Calcutta le 15 août 1872. De sa septième à sa vingt et
unième année, il fut élevé en Angleterre, d’abord à la St. Paul’s School de
Londres puis au King’s College de Cambridge. Il y acquit une connaissance
approfondie du grec et du latin, de l’anglais et du français, tout en se
familiarisant avec d’autres langues européennes, comme l’allemand et l’italien.
Sri Aurobindo
rentra en Inde en 1893 et demeura treize années au service de l’État de Baroda.
Au cours de cette période, il passa maître dans la connaissance du sanskrit,
apprit d’autres langues indiennes et étudia en profondeur tant les problèmes
politiques que la tradition culturelle de l’Inde. En 1906, il se rendit au
Bengale et se lança ouvertement dans l’action politique, son journal Bandé
Mataram devenant la voix la plus puissante au début du mouvement pour
l’indépendance de l’Inde. Arrêté en 1908, il passa un an en prison en attendant
l’issue de son procès.
Relâché, il
poursuivit son travail révolutionnaire jusqu’en 1910, époque à laquelle, en
réponse à un appel intérieur, il quitta le domaine de la politique et se retira
en Inde française, à Pondichéry, afin de continuer à pratiquer intensément le
yoga. Ayant rassemblé toutes les vérités essentielles des expériences
spirituelles du passé, il travailla à une réalisation plus complète qui pût
transformer et diviniser la vie.
Ses œuvres
renferment une grande part de la connaissance qui lui était venue au cours de
la pratique de son yoga et offrent des exposés détaillés sur la philosophie
spirituelle et le yoga, le sens véritable des Védas, des Upanishads et de la
Bhagavad-Guîtâ, traitent de l’esprit et de la signification de la civilisation
et de la culture indiennes, évoquent la nature et l’évolution de la poésie et
“décrivent” le progrès de la société humaine vers son avenir divin.
LA MÈRE
La Mère (Mirra Alfassa, 1878-1973) est née et a été
élevée en France. Peintre accompli et musicienne émérite, elle commença, dès
son plus jeune âge, d’avoir des expériences psychiques et spirituelles. En 1912
un petit groupe de chercheurs se réunissaient régulièrement chez la Mère, à
Paris, dans le but de se connaître et de se maîtriser eux-mêmes.
En 1914, elle se rend en Inde et rencontre
Sri Aurobindo à Pondichéry. La même année, ils publient en collaboration un
journal en anglais, Arya et sa contrepartie en français, Revue de
Grande Synthèse. L’objet de ce journal était “l’étude des plus hauts problèmes,
et la formation d’une vaste synthèse de connaissance”.
Le 24
novembre 1926, Sri Aurobindo se retire et confie à la Mère le soin de guider
les disciples qui se sont réunis autour de lui. Ainsi est né l’Ashram de Sri
Aurobindo. Le Centre International d’Éducation a été fondé par la Mère en 1951,
et Auroville, la Cité de l’Aurore, inaugurée en 1968.
Hormis
Prières et Méditations et quelques nouvelles, les œuvres de la Mère sont
des recueils de ses conversations et de ses lettres, qui traitent des divers
aspects du Yoga Intégral de Sri Aurobindo. Mettant en lumière la vérité qui est
derrière la vie et les réalités cachées dans notre existence quotidienne, elles
fournissent d’inestimables conseils sur le sentier de la perfection de soi.
Celle que nous adorons comme la Mère est la
Conscience-Force divine qui domine toute existence, unique et pourtant si
multiple qu’il est impossible de suivre ses mouvements, même pour l’esprit le
plus prompt et pour la plus libre et la plus vaste intelligence. La Mère est la
conscience et la force du Suprême et elle est bien au-dessus de toutes ses
créations.
Sri Aurobindo
Sri Aurobindo est venu sur la terre pour annoncer la
manifestation du monde supramental. Et non seulement il a annoncé cette
manifestation, mais il a incarné en partie cette force supramentale et nous a
donné l’exemple de ce qu’il faut faire pour se préparer à la manifester.
La Mère
L’ASHRAM DE SRI AUROBINDO
Lorsque Sri
Aurobindo arriva à Pondichéry en 1910, quelques-uns de ses compagnons vinrent
peu à peu le rejoindre et tous vivaient ensemble comme les membres d’une même
famille. Après le retour de la Mère en 1920, le nombre des disciples augmenta
progressivement et une vie collective se constitua. On peut dire que l’Ashram,
tel qu’il est actuellement, a commencé en 1926, lorsque Sri Aurobindo l’a
confié entièrement à la Mère.
Composé tout
d’abord de quelques bâtiments dans un quartier de Pondichéry, l’Ashram s’est
peu à peu étendu dans toutes les directions. Le point central de la communauté
est un groupe de maisons qui inclut celle où la Mère et Sri Aurobindo ont
résidé le plus longtemps. Ces maisons, reliées entres elles en un quadrilatère,
constituent ce que l’on appelle le “bâtiment principal de l’Ashram”, ou, tout
simplement “l’Ashram”.
Avec les
siècles, le mot “ashram” a fini par devenir synonyme de monastère, de retraite
pour les reclus et les ascètes, mais il n’en était pas ainsi à l’époque des
Védas, des Oupanishads et des grandes épopées. Le sannyâsa ou ascétisme,
tel qu’on le comprend d’habitude, ne fut jamais accepté par Sri Aurobindo et
n’a jamais fait partie de son yoga, et l’Ashram de Pondichéry diffère
considérablement de l’idée que l’on se fait en général d’un ashram. Ses membres
ne sont pas des sannyâsî, ils ne portent pas la robe orange et ne
pratiquent aucun ascétisme rigoureux. Ils sont des sâdhaks, des chercheurs et
aspirants en quête d’une vie fondée sur la réalisation spirituelle, et leur
idéal est de réaliser la vie divine sur terre, dans l’existence terrestre. Tel
était le caractère de l’Ashram lorsqu’il ne comptait que quelques disciples et
tel est son caractère aujourd’hui, maintenant que leur nombre s’élève à
plusieurs centaines.
La vie y est
entièrement fondée sur la spiritualité. La discipline est avant tout intérieure
et chacun jouit de la liberté nécessaire pour se développer et se transformer
spontanément. En bref, la sâdhanâ consiste en une soumission progressive de
soi-même au Divin. Méditation, concentration, travail, service, tout est
utilisé comme moyen de se perfectionner.
Une communauté
aussi vaste exige pour fonctionner un travail et un effort soutenus de la part
de tous ses membres. “Travailler pour le Divin, c’est prier avec son corps”,
dit la Mère. Chacun accepte le travail qui lui est assigné en fonction de ses
capacités et de ses aspirations, compte tenu des besoins de la communauté; pour
chacun c’est une occasion d’apprendre à servir sans égoïsme, de tenter
d’atteindre la perfection dans le travail et d’en faire une offrande au Divin.
Toutes les
activités de l’Ashram sont coordonnées et inspirées par la vision d’une vie
plus vraie, ainsi que la Mère le souligne: “Sri Aurobindo nous a dit, et nous
en sommes convaincus par expérience, qu’au-dessus du mental se trouve une
conscience beaucoup plus sage que la sagesse mentale, et dans les profondeurs
des choses, une volonté beaucoup plus puissante que la volonté humaine. Tout
notre effort est d’arriver à ce que cette conscience et cette volonté gouvernent
notre vie et notre action, et organisent toutes nos activités. C’est de cette
manière que l’Ashram a été créé... Tout s’est développé spontanément, comme une
forêt, et chaque service a été créé non d’après un plan artificiel, mais
dynamiquement, par un besoin vivant. C’est le secret de la croissance constante
et du progrès sans fin.”
Notre tâche n’est pas de toujours répéter ce que
l’homme a déjà fait, mais de parvenir à de nouvelles réalisations, à des
maîtrises dont nous n’avons pas encore rêvé. Le temps, l’âme et le monde nous
sont donnés comme champ d’action; la vision, l’espoir et l’imagination
créatrice nous servent d’inspirateurs; la volonté, la pensée et le labeur sont
nos très efficaces instruments.
Sri Aurobindo
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